mercredi 30 décembre 2015

vendredi 26 juin 2015

Long parcours bucolique

le parcours bucolique qui conduit presque à la porte de l'hôpital où se trouve Samuel, le retour a bizarrement commencé par une interpellation de deux policiers. Ils m'ont demandé  comment je m'appelais, restèrent circonspects après avoir entendu mon nom et s'en expliquèrent ainsi : ils croyaient en m'apercevant avoir enfin mis la main sur une femme déclarée disparue qui me ressemblerait physiquement (avec grandes lunettes de soleil) et qui se déplaçait comme moi, en vélo, le jour de sa disparition. Un grand vélo noir comme le mien. Un des policiers me demanda quelle était la dernière fois avant aujourd'hui où j'avais pris mon vélo et pour aller où. Finalement ils m'ont laissée m'en aller. La scène se passait au chemin Ringot. Quelques photos de ce parcours :


Comme vous le voyez, je longeais le canal sur le chemin du halage. La première péniche que j'ai vue avait pour nom Osther ou quelque chose comme cela. Probablement du Hollandais.


Voici le Pont d'Hingettes (ou petit Hinges ?) car un peu plus loin on arrive au village de Hinges (peut-être le pont suivant s'appelle-t-il Pont du grand Hinges et le suivant le Pont du Moyen Hinges ... je plaisante, le pont suivant s'appelle tout simplement le Pont de Hinges.) Le voici, photo suivante :



 
La deuxième péniche aperçue lors de cette promenade se nomme Louveteau, mais là,  nous sommes encore avec Osther en fait, dont j'ai fait plusieurs photos. Après coup, en grossissant les photos (simple click dessus), je vu qu'il s'agissait bien de Louveteau (deux drapeaux et le nom écrit à l'avant).
 
 
Sur ma droite, les espaces qui bordent la petite route parallèle au chemin du halage.
 
 
Il arrive que la petite route fasse aussi office de chemin de halage ou alors, dit autrement, que la petite route étant zappée par les maisons en bord de canal ne reprenne qu'un peu plus loin.
 







mardi 23 juin 2015

L'anthyllide, photographié dans le Var profond par Orev



Dans wikipedia j'ai trouvé des photos non ressemblantes à celle-ci de l'antyllide, mais j'ai aussi lu ceci à son sujet   "Une de ses particularités, sa grande variabilité d’aspect en fonction de son lieu d’origine, est l’expression de sa grande capacité d’adaptation." Celle-ci, du Var profond, a été photographiée au printemps.

dimanche 14 juin 2015

Le mouron des champs

Des botanistes de téla-botanica regrettent qu'il n'y ait pas de livre pour débutants, à leur connaissance, suffisamment documenté concernant la végétation méditerranéenne. Ils conseillent donc un bon bouquin mais où celle-ci est absente (lien en bas de note).
 Orev, toujours en contact avec des professionnels de l'agriculture en Provence, reconnaît de loin, par exemple, le mouron des champs, qui pousse aussi sur sol méditerranéen souvent assez sec. La photo d'Orev concernant le mouron :








La photo n'a pas voulu s'installer sur le blog. Je vais ré-essayer tout à l'heure, au cas où ce serait un caprice de l'informatique. J'ai l'air de me faire un peu de mouron sur la photo que j'ai testée, et qui elle a bien voulu "s'y coller". En attendant, je vais chercher le mouron des champs dans Wikipédia.

Deux liens : celui de Wikipédia sur le mouron, et celui de téla-botanica concernant le livre d'identification, pour débutants : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anagallis_arvensis

 http://www.tela-botanica.org/actu/article4579.html

Cinq minutes plus tard, voici la photo qu'a prise Orev sur le mouron des champs. C'était donc un caprice de l'informatique ou alors une mauvaise manip de ma part. La photo en agrandi constitue une sorte de tableau impressionniste qui me plaît bien.

jeudi 4 juin 2015

L'Oreille-d'Élépant

La plante d'aujourd'hui, l'Oreille-d'Éléphant, appartient à une vaste famille. Le genre "bergenia", écrit sur l'étiquette plantée dans la terre du pot  dévoile gentiment son identité. Je  parle de la plante que j'ai achetée l'an passé. L'étiquette précise "cordifolia" ou feuille en forme de cœur mais il faudrait dire désormais selon les nouvelles conventions, crassifolia, feuille épaisse, dénomination qui lui correspond encore mieux en effet. Ayant consulté Wikipédia à son sujet, je comprends pourquoi la mienne s'en tient aux oreilles d'éléphant, elle en a déployé de nouvelles admirablement épanouies, d'un vert tendre, mais sans  fleurir.  La Bergenia crassifolia du patio exige un peu plus d'ensoleillement pour sortir des fleurs.  Pour l'instant elle est en jardinière, je lui chercherai un coin où la replanter d'ici l'automne,  en espérant voir des fleurs orner les oreilles au printemps prochain.

Pour en savoir plus sur l'Oreille-d'Éléphant :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bergenia_crassifolia

dimanche 31 mai 2015

la photo du post précedent

En regardant la photo de plus près, il pourrait s'agir d'un chou, de l'ordre des Capparalès, qui comprend le chou mais l'ordre n'aide pas vraiment en l'occurrence à identifier la plante. Par contre, la famille, beaucoup plus. Serait-ce une plante de la famille du chou ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Capparales

et surtout, concernant la famille :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Brassicaceae

vendredi 29 mai 2015

Un climat qui permet aux plantes grasses de pousser que celui de la Provence

Les plantes grasses  poussent en Provence, signe évident qu'il y pleut assez peu. La photo est prise par Orev :


 Le sol est  pierreux, recouvert d'humus, de brindilles. Tout autre que celui du Pas-de-Calais où je me trouve, vert et rapidement boueux par endroits en pleine nature. Le lien le plus intéressant que j'ai trouvé concernant les plantes succulentes : http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dossiers/d/botanique-plantes-succulentes-cactus-957/

mardi 12 mai 2015

Fleurs d'Orev

Orev, lorsqu'elle va travailler doit faire attention où elle pose ses petits pieds (Orev il est vrai a de petits pieds mais qui peuvent peser lourd au regard de la fragilité des herbes), elle marche en effet sur un tapis de plantes sauvages la plupart du temps, surtout une fois arrivée sur son lieu de travail.  Orev est aimée de Dieu à mon avis car elle œuvre en plein air en milieu préservé. Voici une plante qu'elle a photographiée, lors d'une pause bien méritée. Les plantes quant à elles  prennent par nature la pose tout le temps, bien que très occupées, surtout lorsqu'est arrivée la saison du sourire. En voici une  tout pétales dehors, blancs comme de petites dents. Quel est son nom ? Las ! je n'ai pas le temps de faire de recherche. Contentez-vous de la  regarder pour ceux qui comme moi l'ignorent, c'est déjà beaucoup :



En fait les dents les pétales sont roses m'a signalé Orev, ce soir. Il est tard, comme la photo est très récente, à l'heure qu'il est, la fleur existe encore et s'est probablement refermée pour la nuit... fais de beaux rêves fleur d'Orev.

lundi 4 mai 2015

Des plantes qui n'ont pas de gros besoins en terre : plantes des murailles

Elles n'ont pas de gros besoins en nourriture terrestre, vu là où elles poussent, sur les murailles,   plus aériennes qu'autre chose du coup. Je pensais que les plantes vues sur le mur d'enceinte du cimetière de Berck-sur-mer étaient, à cause de leurs feuilles qui ressemblaient à celles du lierre, des véroniques à feuilles de lierre, mais celles-ci sont velues et ne poussent pas sur les murailles. Donc ça n'était pas ça. J'ai poussé plus loin mes recherches sur la toile et je l'ai reconnue au premier coup d'œil quand je l'ai vue sur la photo du site : il s'agit de la cymbalaire des murailles. D'après le site consulté, dont vous trouverez le lien sous les photos, la cymbalaire des murailles  fait l'objet de recherches, à savoir comment elle se développe selon qu'elle se trouve dans le Sud ou dans le Nord, en milieu urbain ou campagnard ; en raison des insectes différents selon les lieux, des questions se sont posées sur sa stratégie de reproduction. Cette plante ornant le mur d'enceinte d'un cimetière.... m'avait accroché l'œil... le bleu tranchait joliment sur le rouge écaillé des briques.  Comme si parfois la nature avait des  attentions délicates, à l'image de la cymbalaire.

 
 
 
Cliquez sur la photo pour l'agrandir.
 

Le lien : http://www.gerbeaud.com/nature-environnement/operation-cymbalaire-graines-sauvages-rue,860.html



jeudi 30 avril 2015

Un article sur le partage du jardin

Lu dans L'Écho du Pas-de-Calais (journal hyper intéressant distribué  dans les boîtes aux lettres, il est gratuit...) :

L'article s'intitule : Le jardin partagé et le temps suspendu

Hier, les lieux n'étaient que friches urbaines et terrains abandonnés. Aujourd'hui, à l'initiative des riverains, ce sont des jardins fertiles, colorés de fleurs, de légumes et de plantes aromatiques... Le concept des jardins partagés, inventé par l'association Les Ajoncs apporte à tous le plaisir d'un coin de nature et de temps suspendu. Ce temps arrêté passé à regarder les végétaux pousser et à entretenir des liens cordiaux avec les autres jardiniers.

Pas besoin de savoir travailler la terre, ni d'être costaud pour bêcher. Nul besoin de connaître le nom des arbustes, la meilleure variété de tomate ou la recette du purin de plantes. Aucun besoin de se fatiguer quand on ne souhaite que profiter d'un banc au soleil ou d'un coin d'herbe pour les jeux d'enfants. On utilise le jardin partagé comme on veut. Encore faut-il en discuter... Chaque mois, les adhérents sont invités à se réunir. On s'attarde alors sur les envies des uns et des autres, on y évoque les perspectives du jardin. Veut-on un coin potager, un espace arboré, un enclos et des poules, ou s'occuper des pommes de terre ? Les uns apprendront aux autres. Il y a toujours un connaisseur ou un membre de l'association qui partage volontiers ses compétences, son expérience... Les Ajoncs ont le lien social accroché au cœur, au moins autant que l'amélioration de l'environnement.

En 1997, dans le quartier Moulin à Lille, une friche urbaine désolait les riverains. Les amis du jardin des Olieux (les futurs Ajoncs) ont eu envie de la transformer - avec les habitants - en jardin d'agrément. Soutenu par la ville et le conseil régional, le projet a été primé par la Fondation de France. Le premier jardin communautaire était né ! Dix-huit ans plus tard, il est toujours pimpant. Il est entretenu et animé par ceux qui ont découvert que le jardinage était aussi joyeux qu'apaisant, aussi gratifiant qu'enrichissant. Le concept du jardin communautaire s'est répandu d'abord dans la métropole puis dans le Pas-de-Calais. Quarante-six jardins partagés*, de 1 à 7 ha, ponctuent désormais la région, huit se situent à Méricourt, Lens, Rouvroy et un projet immense est actuellement mené dans la ville d'Avion. Un bois émerge doucement...

"On fait la promotion d'une pratique respectueuse de l'environnement", note René Penet, directeur de la structure et des onze salariés qui l'animent. Produits naturels, paillage, récupération d'eau... "En terme de flux, c'est peu coûteux !"    

Nombre de communes mettent volontiers des terrains à la disposition des Ajoncs. Elles ont vite compris les avantages des jardins communautaires. Les lieux, gérés par les habitants eux-mêmes, sont traités avec respect. Les enfants des écoles peuvent y découvrir une mare pédagogique ou le fonctionnement d'une ruche. etc.

*Informations : pour créer un jardin partagé ou pour adhérer (5euros) à un jardin existant : tél. 03 28  550 330)

mercredi 29 avril 2015

lundi 27 avril 2015

Biologie végétale, expliquée par Catherine Lenne

 Le sujet, qui peut paraître insolite au premier abord, de la verticalité des plantes est aussi abordé dans cette émission. Emission de sciences dans l'esprit de Loren Eiseley,  le "Thoreau moderne",  on dit encore de ce Loren : "Shortly before his death he received an award from the Boston Museum of Science for his “outstanding contribution to the public understanding of science” and another from the U.S. Humane Society for his “significant contribution for the improvement of life and environment in this country.”


  55 minutes d'écoute  sur le site de France Culture :

http://www.franceculture.fr/emission-continent-sciences-arbres-plantes-fleurs-la-galaxie-vegetale-2015-04-27






Jolies fleurettes de l'Herbe à Robert

Elles poussent au bord des murets, au bord des chemins et se sont abondamment invitées dans les jardinières de mon patio, semées toutes seules, comme des grandes,  également dans la  terre du patio lui-même. Leur nom est :  géranium Herbe à Robert. Voilà ce qu'en disent les savants (es) :

http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9ranium_Herbe_%C3%A0_Robert

Ils auraient fleuri en avance cette année dans le Nord de la France les géraniums Herbe à Robert. En voici une description que j'ai trouvée  pointue aussi. Délices de l'identification :

http://www.fleurs-des-champs.com/fiche_geranium_robertianum.html

samedi 25 avril 2015

Le pissenlit

L'article que je mets en ligne date de l'automne dernier, mais qu'importe. Voici des informations sur le pissenlit, et ce qu'il faut savoir pour ne pas le confondre avec des semblants de sosies :

http://www.tela-botanica.org/actu/article6079.html#

vendredi 24 avril 2015

Extrait d'article à propos de la petite pimprenelle, de la revue trimestrielle Plantes sauvages (numéro 5 année 2001), de Patrick Bourduge

Fréquentes dans les friches et les bords de route, elle réhabilite les sols fraîchement terrassés. (Photo : lien en bas de ce post)

Une plante discrète mais largement répandue, de la famille des rosacées, Sanguisorba minor, est présente en France sur les sols calcaires ou neutres, secs et généralement bien exposés. On la rencontre en plaine comme en montagne jusqu'à 2000 m d'altitude sous la forme d'une touffe dense de feuilles pétiolées, composées de trois à douze paires de folioles arrondies à bord denté. C'est une herbacée vivace d'une hauteur de 30 à 60 cm au moment de la floraison entre mai et septembre. Celle-ci est caractérisée par plusieurs tiges ramifiées, de section anguleuse, rigide et supportant des têtes globuleuses vertes (1 à 2 cm), devenant brunes à maturité des fruits. C'est en effet un assemblage d'akènes qui constitue ces têtes : leur forme anguleuse et l'ornementation verruqueuse des faces est caractéristique. C'est une plante assez discrète car ses fleurs sont peu spectaculaires. Présentes au niveau des têtes globuleuses, on observera des amas de soies rougeâtres (fleurs femelles) et de filaments jaunes issus des fleurs mâles : ce sont les étamines qui libèreront un abondant pollen (pollinisation faite par le vent  dite anémophile - pour l'espèce).

Pour réhabiliter certains milieux

Plantes des prairies sèches de Provence, elle se trouvait régulièrement associée au sainfoin cultivé (Onobrychis vicifolia)  ce qui contrariait les agriculteurs car le volume de foin était réduit par la concurrence qu'elle exerçait sur la légumineuse. C'est pourtant une plante appétente ( NP : ou appétissante)  pour les herbivores, justifiant une réhabilitation pour sa mise en œuvre dans le cadre de prairies naturelles diversifiées, ou de couverts à gibier. Cette plante fait l'objet d'un usage courant pour les travaux de végétalisation des talus des voies de communication, des carrières et de décharges à réhabiliter. Sa "plasticité écologique", son système racinaire puissant et sa rusticité font d'elle une excellente plante fixatrice des sols fraîchement terrassés.

Patrick Bourduge

L'article date de 2001, en bas cette note dont je ne sais si elle est encore d'actualité : ZYGENE, Quartier Maronnes 26450 Charols, conseille et fournit toute une gamme de semences d'espèces sauvages, dont la pimprenelle, et participe ainsi à la restauration de la diversité végétale.

Photo de la pimprenelle : http://www.visoflora.com/photos-nature/photo-grand-petite-pimprenelle-3.html

lundi 20 avril 2015

Baby please, don't go

une musique géniale à mon sens, qui recèle un tonus discret mais très efficace  :

https://www.youtube.com/watch?v=f4mBTjJ_Yrg

dimanche 19 avril 2015

Petites fleurs sauvages de Provence prises en photo par Orev

Coronille faux sene photo de Jean Tosti, celle du dessous est prise par Orev, avec un appareil moins pointu mais on y voit le sol de Provence.
Tout sur la coronille : http://jeantosti.com/fleurs2/coronille.htm 
la coronille faux sene

 
 
 

la fumeterre





la mauve
 
 

Roquette
 
 

 
incognito
 
la potentille