jeudi 31 décembre 2009

Le sterculia ou arbre parasol










Sterculia ou Arbre parasol, Parasol chinois, Firmiana simplex, Sterculia

Le site : http://www.lesarbres.fr/sterculia.html

Situation des ressources génétiques forestières

par Yves Yalibanda

Le climat centrafricain est placé sous l’influence de deux grands centres de haute pression:
l’anticyclone de Libye au nord-est de l’Afrique et l’anticyclone de Sainte Hélène localisé sur l’Atlantique au sud-ouest du continent africain. Il existe deux saisons caractérisées par la position du Front inter tropical (FIT) qui marque le contact entre les masses d’air venant des deux anticyclones: c’est la saison sèche quand souffle l’harmattan, vent du nord-est, et la saison des pluies quand vient la mousson du sud-ouest. Les températures moyennes annuelles varient entre 23,4°C à Bouar au nord-ouest et 26,5°C à Birao au nord-est. Le climat est tropical humide au sud et progressivement plus sec au nord-est. La pluviométrie de 1 806 mm au sud-ouest diminue jusqu’à 843 mm au nord-est. De même, la durée de la saison des pluies de 300 jours au sud-ouest, atteint 130 jours au nord-est à Birao. Il existe trois grandes zones climatiques:
• Le climat guinéen forestier ou équatorial au sud, présente les indices 3.2.1.-9.1.2.-9.4.0.
• Le climat soudano-guinéen ou intertropical au centre (type 6.3.3) inclut les sous-climats soudano-oubanguien (7.2.3), médio-soudanien (6.1.5.-5.2.5.) et soudano-sahélien (4.3.5).
• Le climat sahélo-soudanien ou subsahélien à l’extrémité nord-est du pays se rattache au sous-climat sahélo-soudanien (4.2.6.).
Les formations végétales varient suivant les zones climatiques et présentent une grande diversité, depuis la forêt dense de basse altitude au sud, jusqu’aux savanes arborées et arbustives au nord. La forêt dense humide se divise en deux grands ensembles:
• la région forestière du sud-est appelée «forêt de Bangassou»;
• la zone du sud-ouest où se cantonne la plus grande partie de la forêt centrafricaine.


...

Dans le cadre du projet PARN, une enquête effectuée en 1985 a montré que ce sont 550 000 tonnes de bois qui sont libérés chaque année dans le sud-ouest de Bangui. La situation actuelle se traduit par une déforestation au sud-ouest de Bangui, sur les collines voisines, et par un appauvrissement des savanes du nord de Bangui. Les consommations ménagères sont en moyenne de l’ordre de 1,2 kilogrammes par habitant par jour. Si l’on incorpore les consommations des commerçants et artisans, les besoins réels sont de l’ordre de 1,5 à 1,6 kilogrammes de bois sec par habitant et par jour. Ainsi, la seule consommation de bois énergie de Bangui correspondrait à la production annuelle d’un périmètre de plantation d’essences à croissance rapide dépassant 40 000 hectares ou à la récolte (théorique) de produits ligneux à partir de 1 500 à 2 000 hectares de forêt dense humide par an. En 1991, les besoins en bois énergie calculés pour tout le pays étaient estimés à 1,59 millions de tonnes pour le bois de feu et 3 650 tonnes de charbon de bois. (page 14)

...


6. GESTION DES RESSOURCES GÉNÉTIQUES FORESTIÈRES
Depuis quelques années apparaît une prise de conscience mondiale en ce qui concerne
l’aspect limité des ressources forestières, la dégradation et la destruction des forêts tropicales. Dans ce contexte, les coupes sans planification ni gestion ne peuvent plus être acceptées. Toute utilisation des ressources forestières doit reposer sur le principe d’une gestion durable. Le Ministère en charge des forêts a donc la responsabilité d’établir les plans d’aménagement pour contrôler le sous-traitant qui exploite les essences dans le cadre de chaque permis d’exploitation et d’aménagement.
Les exigences légales actuelles concernant les opérations de gestion forestière sont à décrire dans les plans d’aménagement établis par le ministère. Ces aménagements pilotes ont permis de définir des techniques d’aménagement compatibles d’une part avec les possibilités de la forêt, et d’autre par avec les impératifs économiques liés à l’activité industrielle. Ces techniques ont permis de mieux réfléchir sur l’adéquation «exploitation-pérennité des peuplements forestiers». C’est donc nanti de tous ces acquis que le Gouvernement centrafricain a installé depuis 2000 à Berbérati, au sud-ouest du pays, une cellule d’aménagement forestier dont l’objectif principal est de réaliser, pour le compte de l’administration forestière, des plans d’aménagement de tous les permis attribués à des sociétés dans les forêts de production.
En plus de ces actions d’aménagement dans les forêts de production, des actions de
conservation in situ et ex situ ont été entreprises dans tout le pays. (page 19)


Le document : ftp://ftp.fao.org/docrep/FAO/007/j2246f/j2246f00.pdf

mercredi 30 décembre 2009

Famille des Fagaceae

Appareil végétatif
Les Fagaceae sont des arbres, plus rarement des arbustes, au feuillage caduc ou persistant. Leurs feuilles sont alternes, parfois pseudo-verticillées (Cyclobalanopsis), simples, entières ou pennatilobées et pourvues généralement de stipules caduques. Les racines forment fréquemment des ectomycorhizes avec des champignons à hyphes.

Article intégral sur ce site : http://www.plantes-botanique.org/f-Fagaceae

Les insectes



Le site : http://www.insecte.org/

lundi 28 décembre 2009

Le rat

la rat valorisé, tout au moins dédiabolisé. Un article qui m'a bien plu, sur ce site :
http://lizziegirl.over-blog.com/categorie-10340977.html

mercredi 23 décembre 2009

samedi 19 décembre 2009

La morphologie des plantes


"Goethe a été le premier à suggérer que les fleurs étaient des feuilles modifiées."

Le site : http://wapedia.mobi/fr/G%C3%A9n%C3%A9tique_%C3%A9volutive_du_d%C3%A9veloppement_des_plantes

mercredi 16 décembre 2009

Cây hung xa ou le marrube blanc

En savoir plus : http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?xt=XT33&ct=CT50&page=newsdetail&newsid=58227

Très bel article sur la Finlande

"La nature, en Finlande, est d’une telle complexité qu’il est malaisé de la décrire par un seul mot – si ce n’est par le mot « contraste ». Le cycle annuel génère le contraste le plus visible. De même, le lac où l’on nage et où l’on fait de la voile en été, devient en hiver une patinoire ou un champ de ski de fond, tout aussi étendus. Les nuits d’été, lumineuses et chaudes, font place aux décors neigeux surmontés par une chape d’obscurité. ..."

L'article : http://www.info-finlande.fr/article/La_nature_en_Finlande.html

mardi 8 décembre 2009

Les huiles essentielles

Cliquez sur l'article pour le lire, à moins que vous n'ayez une vue très aiguisée :

bienfaits de certains végétaux qui avaient été oubliés

"Signe de ce renouveau végétal, des espèces oubliées, des variétés délaissées font leur réapparition. Crosnes, cardons, panais, topinambour, tétragone, ficoïde, pissenlits, salicorne, orties sauvages, baies de sureau, nèfles ... reprennent le chemin de l'assiette. Il était temps car les espèces végétales souffrent d'une élimination impitoyable. On estime aujourd'hui qu'environ 75% des variétés comestibles cultivées il y a 100 ans ont disparu. La faute est collective et les explications multiples. A côté d'une agriculture intensive qui a éliminé les plantes de faible rendement, l'exode rural et la standardisation des modes de vie ont éloigné "l'homo citadinus" de la nature. Heureusement quelques irréductibles, amoureux de la flore ont préservé ce patrimoine botanique et gustatif."
Le site : http://www.elmoudjahid.com/accueil/sante/47604.html

La famille des Ranunculaceae

"Les Ranunculaceae constituent la majorité de l'ordre des Ranunculales. Le nom de cette famille vient du genre Ranunculus qui vient du latin rana (grenouille) illustrant l'affinité de presque toute les Ranunculaceae vis à vis de l'eau."

Le site : http://www.plantes-botanique.org/f-ranunculaceae

jeudi 3 décembre 2009

lundi 30 novembre 2009

Le cardon

"Le CARDON (Maroc)
Plante et importance de la culture au Maroc :
Le cardon (Cynara cardunculus) est une plante pérenne originaire de la Méditerranée. Elle appartient à la famille botanique des Composées. La partie consommée est le pétiole, appelé aussi côte (jeune et tendre). Le légume est nutritif et diététique, il est riche en vitamines, Ca, potassium et sodium. Au Maroc, les principales régions de production sont Rabat, Casa, Saïs et Marrakech."


Le site :
http://blogdemalika.bloguez.com/blogdemalika/780764/Le-CARDON-Maroc-

jeudi 26 novembre 2009

Graines germées : le millet

..."Régime sans gluten. Le millet est une importante source de vitamines B et E, et de minéraux tels que le fer, le potassium, le phosphore, le magnésium et le zinc. Il est riche en acides aminés, composants de base des protéines. Enfin, ces graminées ont un énorme avantage : si elles n’ont pas été contaminées par d’autres céréales comme le blé, elles sont dépourvues de gluten. Même si vous êtes atteint d’une maladie cœliaque, vous pouvez donc tout à fait les consommer."

http://www.destinationsante.com/Mille-et-une-graines-germees-de-millet.html

Sourire du jour

mercredi 25 novembre 2009

La bienfaitrice des chats de Catorive


Par tous les temps elle accomplit la mission qu'elle s'est fixée : pallier le manque de nourriture de certains chats de Catorive, un des plus anciens quartiers de Béthune. Bravo Madame !

Un site à propos de recettes bio

Cliquez ici : http://blogbio.canalblog.com/archives/2008/05/22/9188792.html

mardi 24 novembre 2009

À demain

Nous marchons dans Saint-Venant ( Photos Régine Vast)









trop de flaques d'eau dans le bucolique chemin des grues

lundi 23 novembre 2009

La promenade à Saint-Venant (Photos Régine Vast)






Photo du port de plaisance de la ville


Le chemin des grues


Le monument aux morts

Un extrait de l'introduction de La Peau de chagrin

Cette introduction au roman de Balzac est de Jacques Martineau :

"... Sur un plan esthétique, comme l’a montré José-Luis Diaz, cette théorie (de Balzac) qui oppose l’économie et la dépense trouve dans ce roman une tentative de résolution dont l’emblème serait la figure, si romantique, de l’oxymore. On peut, en effet, lire la morale de vie que développe l’antiquaire comme un projet esthétique romanesque : le centenaire nous convie à la jouissance du monde par la pensée, une jouissance à distance, grâce à une sorte de concentration, de réduction à un panorama intérieur de l’univers des hommes et de leurs passions :

« Ce que les hommes appellent chagrin, amours, ambitions, revers, tristesse, sont pour moi des idées que je change en rêverie ; au lieu de les sentir, je les exprime, je les traduis ; au lieu de leur laisser dévorer ma vie, je les dramatise, je les développe, je m’en amuse comme de romans que je lirais par une vision intérieure. »

Si nous le suivons, l’activité créatrice du romancier, de tout poète, est une activité de réduction, un effort pour ramener à soi, « faire comparaître en soi l’univers » qui permet de le contempler sans y disperser ses forces. Tout dans La Peau de chagrin évoque l’importance de cette activité poétique économe qui « change l’événement et l’affect en monnaie spirituelle » : c’est Raphaël lui-même qui s’enferme dans sa chambre, réduit la vie au strict minimum et jouit des délices de la pensée ; c’est l’éloge de Cuvier qui développe un panorama de l’univers à partir d’un morceau de houille ; c’est la paysanne d’Auvergne qui est une « idéalisation complète du pays ». Le texte se trouve parsemé d’êtres, objets, mots, pensées qui résument, condensent, rassemblent tout un monde. Ainsi s’explique aussi la symbolisation excessive dont sont frappés les personnages : Raphaël est la vie aux prises avec le Désir, Fœdora la Société, Pauline l’Idéal, etc.

À l’inverse, et au cœur de cette esthétique de l’économie, le texte déploie aussi une esthétique de la dépense et de la débauche, comme nous le disions plus haut, de la profusion. Elle est sensible dans certaines affirmations du narrateur qui, par exemple, confesse son admiration pour les tragédies de Shakespeare, elle s’affirme pleinement dans les références constantes à Sterne ou Rabelais ; et surtout elle s’écrit dans les tableaux délirants du magasin de l’antiquaire, de l’orgie, de la chambre de Rastignac et dans l’éloge de la débauche que lance Raphaël.

Deux aspirations esthétiques du texte semblent aussi se heurter ; en réalité, elles vont de pair. Balzac ne veut pas être totalement un antiquaire qui range, ordonne, classifie les objets, les hommes, les passions, il ne veut pas être un Lavrille qui étiquette des canards : l’image du romancier que délivre le roman est celle d’un artiste tendu vers une réalisation oxymorique presque impossible de la diversité dans un tout unique. Dépense et économie sont toutes deux présentes parce qu’elles soulignent l’effort qui est nécessaire pour accomplir cet exploit, parce qu’elles nous montrent un roman en formation, des forces romanesques agissantes et comprimant pour nous, sous nos yeux, le monde, comme la presse hydraulique de Planchette pourrait réduire « un homme à l’état de papier brouillard, un homme botté, éperonné, cravaté, chapeau, or, bijou, tout … ».

Il faudrait ici étudier tous les réseaux qui tissent le roman et assurent sa cohérence : thème de l’or et des métaux, registre des couleurs (noir et rouge), évocation multiples de l’Orient, etc. Nous ne nous attarderons que sur les images musicales qui assurent explicitement dans ce roman ce travail de concentration. De la scène dans la maison de jeu à la scène d’orgie se poursuit par exemple une grande métaphore musicale filée qui culmine au cœur de la bacchanale :

« L’orgie seule déploya sa grande voix, sa voix composée de cent clameurs confuses qui grossissent comme les crescendo de Rossini. »

L’image n’est pas purement décorative, car la musique, et principalement les finale d’opéra auxquels l’auteur fait ici assez explicitement allusion, offrent un parfait exemple de réalisation oxymorique : par la science de l’harmonie, une multitude de timbres, de notes, de rythmes, un univers sonore entier se trouve réuni en un tout unique et mélodieux. Dans l’article publicitaire que Balzac écrivit lui-même pour La Caricature, le 11 août 1831, l’auteur cite cette description de son propre roman : « Notre société cadavéreuse y est fouettée et marquée en grande pompe sur un échafaud, au milieu d’un orchestre tout rossinien », orchestre qui, selon nous, voudrait justement réduire à l’harmonie la discordance des deux tentations de la dépense et de l’économie. Toutefois, Balzac n’a pas encore trouvé son système unitaire en 1831 et La Peau de chagrin marque le cheminement vers une esthétique balzacienne de l’oxymore plus qu’elle ne la réalise. D’une tout autre nature sera la description de la pension Vauquer, autrement plus maîtrisée et concentrée que les orgies de phrases de La peau de chagrin.

Philosophique, esthétique, la théorie balzacienne de l’énergie vitale prend également dans La Peau de chagrin un sens sexuel qui ne fait aucun doute. Si Balzac a mis son roman sous la protection de Rabelais ( la première édition s’achevait par une Moralité qui revendiquait ouvertement cette filiation littéraire), s’il est fait à de nombreuses reprises allusion à cet auteur au cours du texte, c’est aussi pour ramener cette théorie, qu’on a souvent tendance à traiter de manière trop abstraite, vers des réalités plus concrètes et plus charnelles. Économiser ses forces vitales veut aussi dire modérer son appétit sexuel (on sait combien cette idée a pu obséder le XIXè siècle). Du coup, tout le texte se retrouve animé d’un élan sexuel qui lui donne en 1831 un parfum de scandale, et on sait bien depuis Sade, mais aussi Diderot, quel caractère subversif peut donner la sexualité à un texte littéraire. Les évocations orientales si abondantes dans le texte vont dans ce même sens ; l’Orient, cet Orient de Sardanapale et des Mille et Une Nuits, évoque la volupté, les plaisirs de la sexualité, la débauche. La grivoiserie du texte de Balzac apparaît souvent très appuyée, presque vulgaire, nous rappelant au corps et à la matière : c’est ainsi que Raphaël, ivre mort, déclare :

«  Cette Peau se rétrécit quand j’ai un désir … c’est une antiphrase. Le brachmane, il se trouve un brachmane là-dessous ! Le brachmane donc était un goguenard, parce que les désirs, vois-tu, doivent étendre … »

Et Émile d’approuver :
« Oui, cela est très vrai, je pense comme toi. Le désir étend … »

Enfin, la mort de Raphaël, causée par le désir sexuel pour Pauline et survenant dans les bras de cette femme au moment d’un orgasme, souligne d’une façon très nette la leçon érotique que nous devons en tirer. Toutefois, là encore, la morale du texte n’est pas claire : si la sexualité détruit, l’amour humain ne peut se concevoir sans elle pour Balzac. Faut-il encore faire un choix et ce choix conduit-il au désespoir ? Sans nul doute pour l’instant : soit on se refuse à l’amour charnel, comme Fœdora ou l’antiquaire, et la vie est fausse, soit on s’y abandonne sans retenue et conformément à la nature, comme Pauline et Raphaël, mais alors il tue. Balzac, là aussi, va rechercher une solution idéale dont nous verrons plus loin l’ébauche inaboutie dans ce roman."

Jacques Martineau

dimanche 22 novembre 2009

paroles d'une chanson de Serge Reggiani


Et moi, je peins ma vie
Interprète : Serge Reggiani
Paroles : Claude Lemesle. Musique : Roger Candy / S. de Lettrez.

Avec mes larmes avec mon sang
Et l'encre rouge et bleue de ma mémoire
Avec des films en noir et blanc
Avec des femmes en blanc et noir
Avec le grand pinceau du temps
Et la palette de mon désespoir
Avec la toile que me tend
Le grand absent des reposoirs
Je peins ma vie comme je peux
Je peins ma vie comme elle vient
Excusez-moi du peu
Je peins !

Rose-pastel du sentiment
Cris de couleur lancés au vent du soir
Ou cris qui quotidiennement
Versent des cendres sur l'histoire
Je peins ma vie comme je veux
Sans m'occuper des copains,
Excusez-moi, Bon Dieu !
Je peins !

Tu écris
Et moi je peins ... ma vie
Je mets du ciel au milieu des ratures
Tu écris
Et moi je peins ... ma vie
Polichinelle à la triste figure
Je peinturlure.

La vie n'a pas eu le talent
De me donner l'oeil d'aigle de Renoir
Alors je vais de mon pas lent
Les chemins creux du purgatoire
Moi tâcheron de l'air du temps
Je fais des taches sur mon grand miroir
Et j'arlequine mes tourments
Pour les salons de l'illusoire
Je peins ma vie à petit feu
Je peins ma vie tant qu'elle tient
Encore un siècle ou deux,
Je peins !

Tu écris
Et moi je peins ... ma vie
Je mets du ciel au milieu des ratures
Tu écris
Et moi je peins ... ma vie
Polichinelle à la triste figure
Je peinturlure.

Tu écris
Et moi je peins ... ma vie
Je mets du ciel au milieu des ratures
Tu écris
Et moi je peins ... ma vie
Polichinelle à la triste figure
Je peinturlure.

Oui, avant c'était ... c'était de la barbouille
Et puis c'est dev'nu une espèce de peinturlure
Et puis, maintenant, petit à petit, ça devient p't'être de la peinture
P't'être de la mauvaise peinture
Mais de la peinture
On verra, ah, ah, ah ... on verra bien ...
http://www.frmusique.ru/texts/r/reggiani_serge/etmoijepeinsmavie.htm

mercredi 18 novembre 2009



"Thanks to satellites, researchers found that more than 1, 2 billion flashes occur worldwide each year. (Rwanda has the most lightning strikes per square kilometer, whereas they are rare in polar regions). Laboratory tests and field showed that the heart of some lightning was 29 700 ° C, a temperature sufficient to melt the sand and instantly break the molecules of oxygen and nitrogen atoms in two individuals."

La suite : http://translate.google.com/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.notre-planete.info%2Factualites%2Factu_2177_eclairs_oxydes_azote.php&langpair=fr%7Cen

des prix pour certains feuillus


Ici : http://www.voir.ca/blogs/nouvelles_arts_de_la_scene/archive/2009/11/17/prix-litt-233-raires-du-gouverneur-g-233-n-233-ral-2009.aspx

mardi 17 novembre 2009

Nono blaguée



vous vous êtes sans doute aperçus qu'il s'agit d'un collage. À l'origine Nono se trouvait assise près d'un arrosoir, au fond de "son" carré de pelouse, très proche de la rivière qui se nomme la Lawe. Cette chatte étant très casanière, il m'a pris la fantaisie, en faisant du rangement dans le bureau, de la transférer au bord du Fliers qui se trouve à une centaine de kilomètres de là où elle a été photographiée. Si elle s'était trouvée réellement à cet endroit, étant donné son caratère, elle ne serait pas aussi sereinement dépaysée.

lundi 16 novembre 2009

"Moi aussi j’ai embrassé un cheval à Turin"

Une analyse de Michel Tarrier

"Nietzsche s’effondre le 3 janvier 1889 à Turin. Alors qu’il croise une voiture dont le cocher fouette violemment le cheval, il s’approche de l’animal, enlace son encolure et éclate en sanglots : Nietzsche a définitivement quitté l’humanité."...
Le texte intégral : http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1339

dimanche 15 novembre 2009

jeudi 12 novembre 2009

"Si Chocques m'était conté"

Il s'agit d'un livre sur la ville de Choques ; il sera mis en vente dans trois semaines.

L'article ici :

http://www.nordeclair.fr/Locales/Bethune/Environs/2009/11/11/un-livre-sur-l-histoire-du-village-a-com.shtml

mardi 10 novembre 2009

Le seigle

..." les maladies cardio-vasculaires sont rares ou inexistants chez les populations qui consomment régulièrement du pain de seigle."...

L'article : http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?page=newsdetail&newsid=57413

Étonnant



"Des insectes auraient pratiqué cette fécondation sur des plantes comme les fougères et les conifères, pourtant dépourvues de fleurs, il y a plus de 150 millions d’années, avancent des chercheurs dans la revue Science publiée cette semaine.

Conrad Labandeira (Smithsonian Institution, Washington, E-U) et ses collègues se sont intéressé à de petits insectes de l’ère Mésozoïque, des mécoptères ou mouches-scorpions (ainsi appelés à cause de leur abdomen recourbé). Très diversifiés au Mésozoïque (il y a entre 65 et 250 millions d‘années), les mécoptères possèdent une sorte de trompe bien adaptée à la consommation de nectar."

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/vivant/20091106.OBS7110/les_pionniers_de_la_pollinisation.html

lundi 9 novembre 2009

... Ce phénomène de méfiance envers les plantes est culturel, du moins en Occident

... "Voici plus de 70 plantes empoisonneuses et leurs histoires inquiétantes ou invraisemblables mais toujours étonnantes. De la Belladone à la Pomme de terre on découvre que la toxicité est surtout une affaire de quantité. Il existe dans nos sociétés modernes une véritable méfiance par rapport à la toxicologie des plantes. Et pourtant, seulement huit plantes sauvages poussant sous nos climats sont mortelles pour l’homme ! Alors que le pourcentage des produits phytopharmaceutiques potentiellement mortels mis sur le marché dépasse largement les 50 %... Ce phénomène de méfiance envers les plantes est culturel, du moins en Occident. Pourtant la toxicité a beau être complexe, il n’en reste pas moins que les sociétés humaines l’ont côtoyé ; tout au long de leur histoire, sans pour autant que la science soit là pour l’éclairer de ses lumières ! Ce livre nous montre que la toxicité est bien moins dangereuse qu’on le croit et surtout qu’on le craint. Il se peut même qu’elle soit un des éléments vitaux de l’expression de la vie sur terre... Ce beau livre présente de magnifiques planches d’herbier, des vieilles gravures et des photographies des plantes." ...
Le site : http://www.tela-botanica.org/actu/article3347.html

dimanche 8 novembre 2009

mercredi 4 novembre 2009

Le crapaud

Brésil : Les Kayapó s’opposent au projet du barrage hydroélectrique

"Expatriés de leurs terres sous la pression de firmes internationales, les Indiens d’Amazonie brésilienne entendent, toutefois, continuer à se battre malgré les faibles moyens dont ils disposent. Depuis le 28 octobre, plus de 200 indiens manifestent afin de défendre la cause des Indiens Kayapó du village de Piaraçu. La protestation devrait durer une semaine. Les Kayapó s’opposent, en effet, au projet du barrage hydroélectrique géant de Belo Monte sur le Xingu, l’un des principaux affluents de l’Amazone. Soutenue par le gouvernement brésilien, cette installation devrait détourner plus de 80 % des eaux du Xingu, aux dires de l’association Survival International. Outre l’impact colossal d’un tel dispositif sur le stock de poissons, seront également affectés les espaces forestiers en bordure de la rivière où s’est établie la tribu. D’après les estimations divulguées par l’association, cela concernerait une étendue de près de 100 km.

Dans une lettre adressée au président brésilien Lula, les Kayapó ont répondu aux accusations lancées par le ministère des Mines et de l’Energie, lequel avait accusé des « forces démoniaques » de déjouer la construction de barrages hydroélectriques au Brésil. Se défendant d’être un frein au progrès du Brésil, les Indiens affirment vouloir œuvrer pour la préservation d’un patrimoine, qu’ils protègent depuis « des millénaires ». Au regard de quoi, ils réclament au gouvernement brésilien la conduite d’études sérieuses sur l’impact environnemental de ce projet, « impliquant la consultation des principaux intéressés »".http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=3964

mardi 27 octobre 2009

Haïti: Un patrimoine écologique à sauver

"La Forêt-des-Pins est comptée parmi les plus grandes réserves forestières de la Caraïbe. Depuis 1986, elle se dégrade à cause de la coupe effrénée et anarchique des arbres. Une situation qui entraîne la réduction de sa surface à 25% selon un rapport de l'ISHI paru en 1998..."
http://www.lenouvelliste.com/articles.print/1/72958

mercredi 21 octobre 2009

Le Frenchy Garfield

Un soir, nous étions fin octobre et je décidai de quitter le geyser, cette belle plante à côté de laquelle j'aimais passer la nuit, les luminescentes petites fleurs blanches me rassurant fortement, car j'étais d'un naturel assez peureux à l'époque. Halloween approchant, et mon rival Yoko me surveillant d'un oeil ironique, je me fis donc violence en ce début de veillée, et m'éloignai de mon Doudou, ma bien-nommée Geyser. Sans moi, celle qui m'était restée fidèle compagne depuis le printemps où elle avait fait irruption sur notre territoire, avait l'air bien esseulée ... mais l'heure de l'émancipation avait sonné pour le jeune chat que j'étais alors, qui s'était mis à rêver de remonter les bretelles à ce pingre de Yoko. En effet celui-ci n'avait pas encore réussi à se séparer définitivement de son ridicule papillon en papier de pacotille sur lequel il veillait stupidement et de façon très possessive durant la nuit avant de l'abandonner, au chant du coq, pour rejoindre ses coussins moelleux. Ce précieux animal avait besoin d'une petite démonstration de mon indépendance (je n'allai certes pas tarder à l'acquérir) et par là-même de ma supériorité. Oui, il allait voir, ce pleutre, de quel bois se chauffe un chat qui se respecte et peut-être serait-il plus enclin par la suite à partager sa gamelle.

Je me dirigeai vers la droite, d’un pas encore hésitant afin de saluer Cornus alba avant de me lancer dans l’aventure ; le savant botaniste qu’était mon maître l’avait surnommé « Cinq à sept », subtile façon croyait-il de se jouer du visiteur ignorant par ce genre de petit sobriquet allusif et de se remémorer le temps de croissance de cet arbuste m’avait-il confié un jour, avec ce sourire rusé qui le caractérisait dès qu’il se retrouvait parmi nous, « dans sa petite jungle » disait-il parfois avec l’attendrissement béat que donne la fierté paternelle. En ce moment, le bruit sourd des informations du journal télé me parvenait à travers la vitre, avec son lot de vibrations négatives ; mes oreilles se mirent soudain à tourner en tous sens et retrouvèrent enfin un semblant de stabilité tandis que je l’imaginais derrière le rideau, assis dans le canapé face au téléviseur, avec une tête lugubre de circonstance. À cette heure, il me croyait sûrement docilement tapi sous mon Geyser, et Yoko immuablement posté près de son papillon fétiche. En ce qui le concerne, il n’avait hélas pas tort.
J’étais donc parti délibérément sous l’œil incisif de mon rival et allai d’abord me planter devant Cinq à sept. Aussi incandescent que les plumes du paon, son ample feuillage flamboyant me fascinait. « Cinq à sept, je vais affronter ce soir le gnome intrépide » lui déclarai-je tout de go. Quelques feuilles frissonnèrent, comme s’il voulait lancer au vent quelques flammèches. « Je te raconterai ce qui adviendra d’une telle rencontre Cinq à sept, et te donnerai des nouvelles du laurier par la même occasion. Je ne te demande pas ta bénédiction, tu es pour moi un porte-bonheur aussi puissant qu’un trèfle à quatre feuilles. » L’arbuste agita quelques rameaux dans le but évident d’exprimer son contentement. Enhardi je continuai « Ne t'inquiète pas trop. En fait je dois juste m’assurer de l’identité réelle du gnome. Il se trouve là-bas, à la frontière de notre territoire. Et s’il n’était qu’une sorte de totem après tout ? Si oui, je dois quand même m'assurer de sa bienveillance à notre encontre. Vois-tu mon ami, je m’assigne comme mission de trouver les réponses à ces pénibles interrogations afin d’affranchir mon ami Yoko de la peur qu’il éprouve à la vue de ce qu’il croit être un épouvantail à chats ». C’est alors que j’entendis pouffer. Nulle raison de mettre en doute Cinq à sept qui s’était toujours montré loyal à mon égard. M’approchant un peu je distinguai à travers le corps buissonnant de mon ami, la terrible Gribouille qui se gaussait hardiment de mon courage. Derrière l’affreux grillage, à la lisière de son pays, presque inconnu de nous tous en raison de l’âpre caractère de la douanière, Gribouille nous épiait. Yoko dut la voir à son tour car sa queue se mit à gonfler de dépit. Ces temps-ci elle était le seul être capable de le faire sortir de ses gonds à pareille heure et bondir comme en plein jour lorsqu’il s’adonnait à la chasse aux papillons. Cinq à sept se mit à frissonner, se souvenant de la triste journée où Yoko et Gribouille avaient livré bataille au beau milieu de ses tendres rameaux, il avait eu beaucoup de mal à s'en remettre. Allons bon ! Cette aventure commençait sous d’étranges auspices !


Je levai la tête vers le toit aux tuiles noires de la maison, n’était-ce pas le persifflage de Tigret que je venais d’entendre, venant de là-haut ? Pour mon premier face à face avec le gnome, j’étais comblé! Surtout ne pas se laisser décourager par la malveillance évidente de ces affreux congénères. J’avançai droit vers l’entité surnaturelle que représentait pour nous la statue rabougrie dont je n’avais jusqu’ici aperçu que la vague silhouette inquiétante, l’ayant toujours soigneusement contournée. La peur soudaine qu’avait éprouvée Yoko à l’endroit de ce personnage ayant par un effet ricochet en quelque sorte, rendu le chaton que j’étais alors assez craintif.
J'avançais, mes congénères sans doute très impressionnés se tenaient cois ; peut-être même, au spectacle de ma force de caractère s'étaient-ils figés comme des statues de sel. Enfin arrivé près de la butte j'osai lever la tête pour regarder effrontément la statue. Ce que je vis sous le ciel sans lune dépasse l’entendement. Je tressautai. Le sourire hilare peint sur son visage vernissé me fit douter plus encore des bonnes intentions de son créateur. Je m’assis prenant la posture téméraire de Yoko lorsqu’il garde son papillon et fouillai ma mémoire. J’avais besoin de retrouver mes esprits. Je me souvins alors nettement du jour où mon maître avait ramené le gnome à la maison et l'avait sorti avec enthousiasme de sa boîte puis était allé l’exposer à la vue de tous sans se départir d’un petit air malicieux. Mes congénères et moi fîmes l’impasse sur cet épisode comme pour chasser de notre esprit la gêne que nous procurait cette chose grimaçante. Elle allait pourtant trouver sa place aux côtés du laurier. « Drôles d’épousailles  » me dis-je en risquant un œil vers ce qui était peut-être un totem ou une chose habitée d’un esprit maléfique. Yoko n’était-il pas devenu bougon par la suite, et c’était sûrement à cette époque qu’il s’était tourné vers les papillons ; étrange humeur qui n’avait cessé de m’inquiéter depuis. Mais au souvenir de l’arrivée chez nous de la chose, je me demandai ensuite pourquoi elle avait trouvé acheteur en la personne honorable de mon maître.
Je l’entendis dans une sorte d’écho de la mémoire parler de prototype fabriqué à des centaines d’exemplaires en ce qui concernait ce qu‘il prétendait être un objet décoratif. Mais si tel était le cas pourquoi l’objet en question avait-il pris d’emblée cette aura de mystère?
La statue représente un gnome portant un bonnet rouge, en tunique bleue et pantalon crème. Son nez protubérant semble vouloir indiquer un amour certain des bonnes choses. Il a l’air d’un gros champignon dont le chapeau se serait gondolé. J’en étais là de mes timides considérations quand le laurier se manifesta :
« Tu trembles à la vue de mon totem dirait-on ! »
L’étonnement me fis oublier ma peur un instant, j’étais ravi de l’entendre et lui déclarai
— Vous ne vous exprimez pas par sous-entendus comme votre ami le Cornus alba … Ainsi cette chose est donc bien un totem ? 
— Pour moi oui parce qu’il est chargé des bonnes intentions de ton maître à mon égard, ce qui me réchauffe la sève.
— Il a ses têtes alors ! Il nous fait froid dans le dos, à moi et mes frères.
— Ah ? souffla le laurier sincèrement désolé, peut-être le prenez-vous pour un gnome alors ?
— Le bonnet rouge, cette expression euh… goguenarde. Il y avait de quoi se tromper !
— Sauf que les vrais gnomes sont sans cesse en mouvement et pas méchants envers les hommes et les plantes en général. Mais envers les chats peut-être bien parfois peuvent-ils l’être. De toute façon, ce qui est totem pour moi et simple élément décoratif pour ton maître, est tout à fait inoffensif.
— Mais pourquoi avez-vous décidé d’en faire votre totem ? M’exclamai-je dans un élan de confiance.
— Oui bon, c’est un bien grand mot je le concède. Au fait comment va Geyser, ta Doudou ?
— J’ai dû m’en affranchir pour affronter le …
— Si t’affranchir de ta peur consiste à bousculer ma chaufferette, vas-y !

Un grand silence se fit. Le laurier n’avait plus rien à ajouter. Confiant j’allai uriner tout contre lui et son petit radiateur. Notre amitié était scellée.
C’est ainsi que je fis mes premiers pas vers l’âge adulte et devins un matou respectable.

mardi 20 octobre 2009

Les aventures du Frenchy Garfield


Un soir, nous étions fin octobre et je décidai de quitter le geyser, cette belle plante à côté de laquelle j'aimais passer la nuit, les luminescentes petites fleurs blanches me rassurant fortement, car j'étais d'un naturel assez peureux à l'époque. Halloween approchant, et mon rival Yoko me surveillant d'un oeil ironique, je me fis donc violence en ce début de veillée, et m'éloignai de mon Doudou, ma bien-nommée Geyser. Comme vous le voyez sur la photo, sans moi, celle qui m'était restée fidèle compagne depuis le printemps où elle avait fait irruption sur notre territoire, avait l'air bien esseulée ... mais l'heure de l'émancipation avait sonné pour le jeune chat que j'étais alors, qui s'était mis à rêver de remonter les bretelles à ce pingre de Yoko. En effet celui-ci n'avait pas encore réussi à se séparer définitivement de son ridicule papillon en papier de pacotille sur lequel il veillait stupidement et de façon très possessive durant la nuit avant de l'abandonner, au chant du coq, pour rejoindre ses coussins moelleux. Ce précieux animal avait besoin d'une petite démonstration de mon indépendance (je n'allai certes pas tarder à l'acquérir) et par là-même de ma supériorité. Oui, il allait voir, ce pleutre, de quel bois se chauffe un chat qui se respecte et peut-être serait-il plus enclin par la suite à partager sa gamelle.

Vous saurez la suite demain, si suite il y a.

lundi 19 octobre 2009

La salicaire


"Purple Loosestrife is a very widespread perennial that mainly invades the highest part of marshes. Its square, rigid stem with its often woody root mass and its purple flowers easily distinguish it from other plants."

La Salicaire commune est une plante vivace très répandue qui envahit principalement la partie supérieure du marais. Sa tige angulaire, son port rigide avec sa base souvent ligneuse et sa floraison pourpre la distinguent facilement des autres plantes.

http://www.qc.ec.gc.ca/CSL/inf/inf034_e.html

dimanche 18 octobre 2009

L'ail

"Plante et importance de la culture au Maroc
L'ail (Allium sativum) est une plante bisannuelle, originaire de l'Asie et de la Méditerranée. Elle appartient à la famille botanique des Alliacées. La partie consommée est le bulbe constitué de caïeux. Le légume est nutritif et utilisé en médecine traditionnelle contre la diarrhée, les maux digestifs, l'hypertension artérielle et contre un certain nombre de toxines et venins dont le venin des scorpions et de certaines espèces de serpents. Il est riche en vitamines et en sels minéraux. Au Maroc, les principales régions de production sont Taounate, Saïs, le littoral et les régions montagneuses."


http://blogdemalika.bloguez.com/blogdemalika/643187/L-39-ail-Maroc-

vendredi 16 octobre 2009

mercredi 14 octobre 2009

L’agave


Photo trouvée sur Wikipédia



"En nahuatl, la langue des aztèques, le mot metl signifie agave. L’agave est ce fameux cactus à partir duquel on fabrique la téquila. ..."



'METL // gravures de Jorge de la Torre' :
http://www.quefaire.be/metl-gravures-de-jorge-de-170927.shtml

mardi 13 octobre 2009

Un biau parlache

" ... Une première
Une touche de gravité dans un festival du Biau parlache, le premier organisé à Beuvry par les Déplanchés, le groupe local, qui veut révéler le patois sous tous ses genres. Ce sera les 16, 17 et 18 octobre à la salle des fêtes. L'ensemble Re-naissance partagera ainsi la scène avec Guy Dubois, « le professeur de patois » qui cuisinera des « carabistouilles » prêtes à déguster. La compagnie du Reste-ici, de Calonne-sur-la-Lys, maniera le conte.
Avec rires et gravité, tendresse et humour noir, deux comédiens raconteront les histoires de clowns cruels et d'autres personnages. Histoires qui commencent toutes par : « Et pis un jour... ».
Les Balochards, eux, dessineront des portraits de villageois, telle... la commère. Les Déplanchés resteront dans le comique déjanté et prendront le boulevard avec leur nouvelle pièce : Eune question d'héritache. Ils seront treize sur scène et y poseront une échelle et une corde. « On n'a peur de rien », lâche René Seilliez. Et surtout pas d'un flop ! •
Programme.- Vendredi 16 octobre à 20 h. La dégustation de Ch'ti avec Guy Dubois et Canchons d'ichi et d'achteur par l'ensemble Re-naissance.
Samedi 17 octobre à 16 h, « Et puis un jour » de la compagnie Reste-ici à 20 h les Balochards. Dimanche 18 octobre à 17 h, les Déplanchés..."

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Bethune/actualite/Autour_de_Bethune/Bas_Pays/2009/10/12/article_du-16-au-18-octobre-un-biau-festival-du.shtml

vendredi 9 octobre 2009

three blind mice



Three blind mice,
three blind mice
-See how they run !
see how they run
-They all run after
the farmer 's wife,
Who cut off their tails
with a carving knife!
-Did you ever see such a thing in your life.

jeudi 8 octobre 2009

mardi 6 octobre 2009

La nature préservée et accessible à tous

« The National Parks: America's Best Idea is the story of an idea as uniquely American as the Declaration of Independence and just as radical: that the most special places in the nation should be preserved, not for royalty or the rich, but for everyone. As such, it follows in the tradition of Burns's exploration of other American inventions, such as baseball and jazz … »

http://www.pbs.org/nationalparks/about/

lundi 5 octobre 2009

vendredi 2 octobre 2009

Danse




Au commencement, il y des corps qui rêvent, qui s'étirent, encore soumis aux pesanteurs bienheureuses du sommeil ...
http://www.paris-art.com/spectacle-danse-contemporaine/Adage%20d%C3%A9mesur%C3%A9/Apicella-Valeria/5704.html

mardi 29 septembre 2009

The brothers Grimm


"... Ils se présentèrent comme de simples collecteurs d’histoires merveilleuses issues de la bouche même des paysans rencontrés dans la campagne de la Hesse où vivaient les deux frères. La vérité est tout autre : les informateurs des Grimm étaient des femmes de la haute bourgeoisie cultivée de Kassel ou de la noblesse de Westphalie ayant une bonne connaissance du français, en raison, pour certaines, de leurs origines huguenotes. Parmi elles, la plus connue est Dorothea Viehmann, qui a fourni à elle seule plus de trente textes du recueil. Elle fut présentée – et cette image perdure jusqu’à aujourd’hui – comme une authentique paysanne hessoise, personnification même de la conteuse. En plus de cette origine sociale des informatrices qui n’était donc pas issue du « bas peuple », il faut, pour dépasser la légende, savoir que les Grimm retravaillaient les textes à chaque nouvelle édition, rompant donc, mais sans le dire, avec la démarche scientifique qu’ils prétendaient suivre en recueillant simplement la parole populaire ..."

http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1247

Le thé

« Si vous voulez renforcer votre système immunitaire, buvez du thé vert! », s’est exclamé Reinhold Zenger.

http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2009092599_decouvrez-la-theanine-du-the-relaxante-et-immunisante&source=bulletin

vendredi 25 septembre 2009

Walden ou la vie dans les bois

Par Henri David Thoreau

" ... Lorsque autrefois je regardais autour de moi en quête de ce que je pourrais bien faire pour vivre, ayant fraîche encore à la mémoire pour me reprocher mon ingénuité, telle expérience malheureuse tentée sur les désirs de certains amis, je pensai souvent et sérieusement à cueillir des myrtils ; cela, sûrement j’étais capable de le faire, et les petits profits que j’en tirerais pouvaient me suffire ; car mon plus grand talent a été de me contenter de peu. Tandis que sans hésiter mes amis entraient dans le commerce ou embrassaient des professions, je considérai cette occupation comme valant au moins autant que la leur ; courir les montagnes tout l’été pour cueillir les baies qui se trouvaient sur ma route, en disposer ensuite, sans souci ; de la sorte, garder les troupeaux d’Amète. Je rêvai aussi de récolter les herbes sauvages, ou de porter des verdures persistantes à ceux des villageois qui aimaient se voir rappeler les bois, même à la ville. Mais j’ai depuis appris que le commerce est la malédiction de tout ce à quoi il touche ; et que, commerceriez-vous de messages du ciel, l’entière malédiction du commerce s’attacherait à l’affaire.
...

Pour moi, je trouvai que la profession de journalier était la plus indépendante de toutes, en ceci principalement qu’elle ne réclamait que trente ou quarante jours de l’année pour vous faire vivre. La journée du journalier prend fin avec le coucher du soleil, et il est alors libre de se consacrer à telle occupation de son choix, indépendante de son labeur ; tandis que son employeur, qui spécule d’un mois sur l’autre, ne connaît pas de répit d’un bout à l’autre de l’an.
...

Je lis dans le Gulistan, ou Jardin des Roses, du sheik Saadi de Shiraz, ceci : « On posa cette question à un sage, disant : « Des nombreux arbres célèbres que le Dieu très haut a créés altiers et porteurs d’ombre, on n’en appelle aucun azad, ou libre, excepté le cyprès, qui ne porte pas de fruits ; quel mystère est ici renfermé ? » Il répondit : « Chacun d’eux a son juste produit, et sa saison désignée, en la durée desquels il est frais et fleuri, et en leur absence sec et flétri ; ni à l’un ni à l’autre de ces états n’est le cyprès exposé, toujours fleurissant qu’il est ; et de cette nature sont les azads, ou indépendants en matière de religion. Ne fixe pas ton coeur sur ce qui est transitoire ; car le Dijlah, ou Tigre, continuera de couler à travers Badgad que la race des califes sera éteinte : si ta main est abondante, sois généreux comme le dattier ; mais si elle n’a rien à donner, sois un azad, ou homme libre, comme le cyprès.»"

http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1267

jeudi 17 septembre 2009

vendredi 11 septembre 2009

Quand Romy chante

Elif Shafak - interview

"Vous écrivez que la véritable mère du livre, c’est le lecteur. Qu’entendez-vous par là ?
L’écriture romanesque est un art très solitaire : quand vous écrivez, vous êtes tout seul. Quand vous lisez un roman, c’est la même chose. A la différence d’un film ou d’une exposition, vous ne vous rendez pas avec des amis dans un espace public, mais vous vous retirez et vous isolez dans un espace intérieur. A travers cette solitude, un lien s’établit entre l’écrivain et son lecteur. J’ai de nombreux lecteurs (et pas seulement des lecteurs qui ont vécu des expériences semblables à la mienne) qui viennent d’horizons très différents et me disent que mon livre a eu un effet thérapeutique. Lait noir ne parle pas seulement de dépression post-natale. C’est aussi et surtout un livre qui s’interroge sur ce que c’est d’être humain, homme ou femme, traversé par de multiples voix intérieures."
http://www.magazine-litteraire.com/content/Homepage/article.html?id=14235

lundi 7 septembre 2009

jeudi 3 septembre 2009

Un certain Cornus

Ses branches bougent lentement, elles poussent, s’étendent un peu, s’étirent. Le vent le bouscule : une bagarre où le cornus peut laisser quelques feuilles en automne, mais il ne craint presque rien. Sauf le jour où il a réceptionné deux chats, qui en bondissant l’un contre l’autre finirent comme une houle vociférant dans son précieux feuillage. Ces deux imbéciles l’ignoraient tellement dans leur passion réciproque que ça aurait pu lui être fatal. On a besoin d’une présence bienveillante dans ce genre de configuration. Je suis donc intervenue, c’est la moindre des choses. Quelques heures plus tard, il s’était enfin remis d’aplomb, feuilles déplissées, paumes tournées vers le ciel, comme s’il avait repris l’équilibre en cachette (impression due à la lenteur extrême des végétaux). Mais aucune séquelle chez ce solide individu à l‘aspect pourtant si délicat ; d’après son allure, l’incident était complètement oublié.

dimanche 30 août 2009

Lutte contre la pollution


"La lutte contre la pollution, les gaz à effet de serre, le réchauffement climatique, on en parle beaucoup de par le monde. Certains agissent de façon radicale ..." :
http://www.sondelespoir.org/makeArticle.asp?catID=659&id=134949

vendredi 28 août 2009

Protection des animaux

«La façon dont un pays s’occupe de ses animaux sauvages, démontre la grandeur du pays et de sa haute valeur morale.» Ghandi

"Ce n’est pas seulement pour l’homme lui-même que l’homme est un loup, c’est aussi pour le loup ..." La suite sur ce site :

http://www.jijel.info/modules/news/article.php?storyid=1854

vendredi 14 août 2009

promenade

"Art-thérapeute à l’hôpital Saint-Jean-de-Dieu à Lyon, Alain Pouillet est un créateur. Il a participé à plus de 120 expositions individuelles et collectives en France et à l’étranger. Alain Pouillet noue un dialogue par le dessin entre les paysages du Gand où il vit aujourd’hui et ceux de Sarmon de son enfance. Ce même dialogue se poursuit avec la dédicace que l’auteur nous adresse : « une promenade en dessin au bord de la rivière, ombre et lumière, bruissement des pas, à demi-ombre et lumière. Loin des bruits et des remous du monde. »

http://serendipities.over-blog.com/article-34740217.html

samedi 8 août 2009

Jardins du monde

Visite :

http://www.linternaute.com/jardin/magazine/selection/20-jardins-qu-il-faut-avoir-vus-dans-sa-vie/20-jardins-a-voir-absolument-dans-le-monde.shtml?f_id_newsletter=1469
Comme fleurs de bruyères en forêt
le ciel est semé d’étoiles,
le souffle du temps les entraîne
aux cercles joyeux du bal.
Nous ne voyons qu’un coin du bal :
Cherche donc et fais le total
Des danseurs, maître en calcul,
la somme est bien miniscule !


Gaie la Lune accompagne la Terre,
Autour du soleil la Terre
tourne tourne en un immense cercle
Sur un chemin de lumière.
Le soleil lui-même à nouveau
nous entraîne autour d’un plus gros
Ce soleil qu’on ne voit pas :
Où va-t-il ? autour de quoi ?


Imagine plus haut, dessus toi
Mille étoiles comme fleurs :
Serais-tu vieux comme le soleil
Tu n’en concevrais pas le cœur.
Je regarde à genoux le ciel
Ma pensée part à tire d’aile
Très très haut, pour d’autres mondes,
de mon œil une larme tombe.
(Traduction de Marc Delouze)


http://www.radio.cz/fr/edition/119041

jeudi 6 août 2009

La flore libanaise



http://www.tela-botanica.org/actu/article3214.html

Gentianes

Ce site :
http://www.ecrins-parcnational.fr/actus/54-connaitre-proteger/275-lidentification-moleculaire-des-gentianes.html

l'Emmenopterys henryi

"Les fleurs blanc crème en trompette sont réparties en grandes panicules dans la couronne de l'arbre et diffusent un léger parfum très agréable", indique le jardin botanique belge. "À l'intérieur de chaque grappe, précise-t-il, toutes les petites fleurs individuelles ne fleurissent pas au même moment, d'où sa période de floraison relativement longue."
http://tf1.lci.fr/infos/sciences/environnement/0,,4505855,00-exceptionnelle-floraison-d-un-arbre-rarissime-.html